Nous avons le plaisir de vous annoncer l’arrivée de notre nouvelle stagiaire au sein de l’ équipe. Nous accueillons depuis le 16 avril Lucile PETITZON dans le cadre d’un stage de fin d’études pour la validation de son diplôme de l’ISTOM (école supérieure d’ingénieurs en agro développement international). En tant que chargée de mission pour la coordination de challenges d’innovation, Lucile vient renforcer notre équipe jusqu’au mois de septembre et nous lui souhaitons de s’épanouir sur les missions qui lui sont et lui seront confiées. Son objectif sera notamment de travailler sur le déploiement du challenge EPIDOM (événement destiné à dynamiser l’innovation autour des équipements de protection individuelle et à mieux prendre en compte les spécificités des territoires d’Outre-Mer).
Lucile, peux-tu nous parler de ton parcours et des tes missions au sein du pôle en quelques mots ?
« Je suis entrée à l’ISTOM afin d’acquérir des connaissances agricoles et d’avoir une ouverture sur le monde. Cette école m’a permis de partir en stage tous les ans et grâce à ces expériences, j’ai pu me trouver une vocation pour le développement local et agricole.En effet, j’ai travaillé avec des associations au Burkina Faso et au Costa Rica qui avaient cette volonté de développer leurs activités, leur pays… par divers projets : agricoles par la mise en place de points de vente pour valoriser des produits biologiques, mais aussi économiques par de la création d’emplois, ou encore éducatifs par l’ouverture de crèches et de centres d’alphabétisation… Ces rencontres m’ont donné envie d’être au cœur du développement !
Etant originaire de La Réunion / « zoréole » d’origine, j’avais envie d’intégrer les actions qui se font ici et me voici à Qualitropic ! Depuis mon arrivée, je prends connaissance des différents acteurs présents dans le challenge EPIDOM et de son déroulement. Actuellement, je rédige une enquête qui sera réalisée auprès des agriculteurs pour cibler leur principal besoin d’amélioration lié aux équipements de protection individuelle qu’ils utilisent pour se protéger des produits phytosanitaires. Je vais ensuite m’attaquer à la rédaction d’un cahier des charges afin de lancer le challenge de façon concrète ! »