Le capital humain, 1ère richesse d’une organisation 

Le capital humain est la 1ère richesse d’une organisation. En effet, la performance globale d’une organisation repose entre autres sur la disponibilité de compétences de grande qualité, adaptées à ses besoins et adaptables aux évolutions de son environnement. La formation professionnelle constitue donc un puissant levier de compétitivité des entreprises et du territoire en renforçant l’employabilité des salariés ainsi que celle des demandeurs d’emploi. Dans une économie de la connaissance, elle représente un facteur important d’innovation et de croissance.   

Accompagner l’innovation et le développement des entreprises, c’est aussi accompagner les évolutions des savoir-faire et des compétences de leurs salariés et futurs collaborateurs 

La performance économique d’un écosystème innovant que constitue QUALITROPIC, repose non seulement sur la capacité des entreprises et des chercheurs à innover ensemble, mais également sur la disponibilité de compétences de grande qualité, adaptées aux besoins des entreprises. 

C’est donc dans ce contexte que QUALITROPIC a mis en place une commission « Formation » présidée par M. Frédéric MIRANVILLE, Professeur des Universités. La commission, au sein de laquelle siègent les principaux acteurs de la formation professionnelle et de l’éducation de La Réunion, est un lieu de rencontres et d’échanges pour favoriser l'adéquation emploi-formation, notamment dans le champ de l'innovation. C’est un organe consultatif de la gouvernance du pôle QUALITROPIC. 

La commission « Formation » s’est donné 3 objectifs pour la période du contrat de performance 2014-2018 :

• Mettre en place une procédure de labellisation de formations
• Renforcer l’attractivité des métiers en lien avec l’innovation (valorisation des filières scientifiques et technologiques du niveau technicien au doctorat)
• Améliorer les relations entre l’entreprise et les structures de formation

Sa 1ère mission a été d’effectuer un
"Etat des lieux, identification et recensement des besoins en formation
des acteurs de la bio-économie tropicale".