Continuer à développer notre réseau pour que de nouvelles entreprises de la bioéconomie tropicale le rejoigne et proposer toujours plus de prestations en adéquation avec les besoins de ces entreprises, c’est l’un des principaux challenges que doit relever Qualitropic aujourd’hui.
C’est la mission qui a été confiée à notre chargé d’affaires, venu consolider l’équipe opérationnelle du pôle récemment.
Savoir être « utile, utilisable et utilisé » comme le rappelle régulièrement notre Président, c’est ce que nous tentons de faire depuis la création du pôle et encore davantage aujourd’hui.
Transformer le comportement des acteurs pour les conduire à mieux travailler en réseaux, investir dans la R&D et consolider leurs outils de différenciation par l’innovation sous toutes ses formes. C’est le leitmotiv de Philippe Jean-Pierre, en charge de la coordination des actions du Comité Régional de l’Innovation, et nous nous employons à le faire vivre au quotidien.
La bioéconomie rassemble, entr’autres, tous les acteurs économiques et scientifiques qui contribuent au développement de méthodes de production et de transformation alimentaires plus compétitives tout en respectant davantage la nature et en protégeant mieux les producteurs comme les consommateurs.
Pour ce faire Qualitropic s’implique aussi dans l’organisation de challenges et relaie au niveau national les initiatives locales en mettant en avant les talents réunionnais. Ce fut le cas pour l’entreprise All over App dans le cadre du Digit AG en juillet dernier.
Mais Qualitropic a aussi pour mission de fédérer au mieux les initiatives inter-dom et s’y emploiera plus fortement dans les mois qui viennent. Cela commence par le challenge EPIDOM qui démarre bientôt. Affaire à suivre !
Françoise DELABAERE
Directrice de QUALITROPIC
Pouvez-vous nous présenter l’activité de PASSION PRODUIT ?
PASSION PRODUIT est un cabinet de conseil en Marketing, créé en 2010 par Camille Séraphin.
« Je suis fille d’agriculteur. J’ai grandi dans une famille où le plaisir passe par la découverte sensorielle des richesses de la nature et des inventions de l’Homme pour la sublimer. Cette passion ne m’a jamais quittée, dans mes études comme dans mon métier au quotidien. » Camille
C’est donc tout naturellement que PASSION PRODUIT concentre son activité sur le secteur agroalimentaire, et accompagne les acteurs de la production et de la transformation, à l’élaboration de leur stratégie marketing ; de la phase d’étude, à la mise en œuvre opérationnelle.
A l’heure de la Vérité… Le consommateur cherche à donner du sens à ses actes de consommation. Il doit comprendre et ressentir l’histoire du produit qu’on lui propose.
Afin de préserver le sens, la Vision du chef d’entreprise doit être décelée et respectée. Notre métier est bien de trouver l’offre qui saura rencontrer les attentes du consommateur tout en respectant cette Vision.
Parlez-nous de l’innovation service…
Les technologies de l’information ont permis aux consommateurs d’être de mieux en mieux informés, d’avoir une audience pour leur avis.
Ce contexte, lié à une offre pléthorique notamment dans l’agroalimentaire, rend les consommateurs de plus en plus exigeants vis-à-vis des marques, mais aussi parfois versatiles.
Dès lors, comment permettre à un produit, une offre de se distinguer ? Chez PASSION PRODUIT, nous sommes convaincus que cela passe par la création de liens entre le producteur et le consommateur.
De même, nous pensons que l’innovation service doit s’appuyer sur une meilleure connaissance de ses consommateurs (pour une marque), et ce, afin de personnaliser au mieux leur expérience, en offrant une réponse directe à leurs attentes. C’est cela qui permettra à la fois de retenir l’attention du consommateur et de développer une relation de confiance, durable.
Concrètement, il s’agirait par exemple pour une grande surface alimentaire de proposer un distributeur automatique de produits de consommation courante à ses heures de fermeture parce que cela répondrait aux attentes de consommateurs qu’elle ne réussit pas à capter aujourd’hui avec ses amplitudes horaires.
Le consommateur est au centre des préoccupations marketing. Lorsqu’il est partie prenante d’un développement produit, il devient son meilleur ambassadeur. Le marché réunionnais, circulaire, isolé, est un véritable laboratoire pour tester l’intégration du consommateur dans les processus décisionnels de l’entreprise, grâce aux différents supports d’étude et à leur présence sur les réseaux sociaux.
« Passionnée par le marketing digital, j’ai rejoint PASSION PRODUIT il y a deux ans. Pour moi, il est loin le temps où les consommateurs constituaient des entités isolées chez elles, ayant pour unités de mesure « la ménagère de moins de 50 ans ».
Aujourd’hui, le numérique a transformé ces entités en communautés, actives et parfois puissantes. L’avènement des réseaux sociaux, entre autres, a permis de voir émerger le consommateur media, l’usager « acteur » qui va co-construire avec la marque son produit. Toutes les marques qui sont dans une écoute active de leur communauté peuvent réussir leur innovation servicielle. » (Emilie).
Comment chez PASSION PRODUIT, le marketing se met au service de l’innovation ?
Nous rencontrons beaucoup de porteurs de projets créatifs ou d’entreprises innovantes, soucieuses de faire bouger les lignes.
Ils ont besoin de quelqu’un pour leur apporter une meilleure connaissance de leur marché, de l’environnement auquel ils vont se confronter ou celui avec lequel ils vont devoir composer.
Nous sommes-là pour les amener à se poser les bonnes questions, à percevoir les opportunités qu’ils ne soupçonnaient pas, ou à confirmer leur intuition (parfois), à faire émerger de possibles partenariats… à les accompagner dans leur volonté d’innover à travers une réflexion stratégique rigoureuse et des méthodologies simples.
Le mot de la fin ?
L’offre alimentaire évolue. Les sources protéiques sont de plus en plus diversifiées. Demain, allons-nous tous consommer de la « viande in vitro » ou aurons-nous décider de raisonner notre consommation en privilégiant ce qui nous paraît essentiel ; le goût ? les qualités nutritionnelles ? le lien avec le producteur ? les répercussions sur la santé ? le respect de l’environnement ?
A l’heure où la conception même de l’élevage (qui date du néolithique !), est remise en question par un nombre grandissant de consommateurs, au point de faire évoluer la législation, comment réagir en tant qu’acteur de ces mutations ?
PASSION PRODUIT accompagne ceux qui feront l’alimentation de demain, avec une certaine Vision de ses responsabilités !
Du 10 au 12 Octobre, à Romainville, Qualitropic participait au salon Insectinov 2, dédié à la production d’insectes !
Organisé par Adebiotech et Agroparistech, cette deuxième édition d’Insectinov soutenue par 4 pôles de compétitivité réunissait plus de 200 personnes, de plus de 20 pays.
Dans la continuité de la première édition de 2014, où les insectes étaient présentés comme une filière d’avenir, cette fois nous étions bien dans le présent avec des actions concrètes : projets de recherche, sociétés en activité, nouveauté réglementaire, perspectives de filière!
Comment nourrir en 2050, environ 10 milliards d’hommes, mais également leurs animaux ? Comment mieux exploiter, répartir et préserver nos ressources, sans les épuiser ou les saturer ? Comment mieux gérer et valoriser nos déchets ? Tout cela, en essayant de garder un équilibre économique ? Et En limitant les risques de crises alimentaires et sanitaires?
Les insectes apparaîtraient comme une partie de la réponse à ces questions majeures. Mais nous connaissons, à ce jour, très peu ces êtres vivants.
En effet, uniquement 0,2% des insectes présents sur terre sont étudiés ou semi-domestiqués malgré des pratiques d’entomophagie ancestrales dans certaines parties du monde ou encore le recours à certains insectes dans les mécanismes de biocontrôle. Les possibilités sont donc encore vastes et les opportunités de travail sur le sujet sont conséquentes. Il faut cependant savoir également rester prudent et assurer la sécurité nécessaire et attendue sur ce sujet d’actualité, soutenu notamment par la FAO.
Les avancées en termes de recherche, les initiatives de développements industriels, mais aussi l'état des lieux de la réglementation ont été au cœur de ce colloque où des experts du domaine étaient présents.
Des exposés, tables rondes, ateliers, ont permis de rappeler les vastes opportunités qu’offrent les insectes pour des applications en alimentation humaine et animale mais également sur de nombreux autres secteurs d’activité.
La filière avance mais doit encore relever certains défis (réglementaires, sanitaires, techniques, d’acceptation, et bien d'autres) pour pouvoir faire valoir les critères de quantité, de qualité, de durabilité et de responsabilité sociale qu’elle revendique.
En France, les insectes ne sont toujours pas à l’heure actuelle autorisés en alimentation humaine par exemple. Et les démarches pour des demandes d’autorisation de mise en marché de produits alimentaires à base d’insectes, considérés comme des Novel Food au sens européen, sont encore longues et lourdes. Heureusement, les choses évoluent au fur et à mesure comme en témoigne la récente autorisation d’utilisation des protéines d’insectes en alimentation aquacole, ou les évolutions attendues pour 2018.
Vos prochains rendez-vous importants pour la filière insectes : le 21 Novembre à Bruxelles avec la conférence internationale de l’interprofession : IPIFF, et en Décembre à la Réunion au cours d’un atelier animé par Qualitropic!
A l’initiative du Ministère de l’Agriculture, les Etats Généraux de l’Alimentation ont pour ambition de réunir l’ensemble de la filière - producteurs, industries agroalimentaires, distributeurs, consommateurs, restauration collective, élus, partenaires sociaux, acteurs de l'économie sociale, solidaire et de la santé, organisations non gouvernementales, associations caritatives et d'aide alimentaire à l'international, banques, assurances … - en vue de proposer des propositions et initiatives concrètes et innovantes pour :
Débutés le 20 juillet, ils s'articulent autour de deux chantiers, le premier consacré à la création et à la répartition de la valeur, le second portant sur une alimentation saine, sûre, durable et accessible à tous, répartis en 14 ateliers.
A La Réunion, trois ateliers ont été organisés par la DAAF Réunion entre le 10 et 12 octobre derniers et ont réuni une trentaine de participants dont Qualitropic. Le premier atelier a porté sur la création de valeur économique en essayant de répondre aux problématiques :
Quel avenir pour le modèle agricole familial réunionnais ? La transformation des produits agricoles réunionnais telle que nous la pratiquons aujourd’hui à La Réunion est-elle une voie d’avenir pour le développement économique de La Réunion ? Quelle place des produits locaux par rapport aux produits importés ? Comment développer les marchés des produits locaux, notamment en facilitant l’accès des produits réunionnais à la commande publique (restauration collective…) ?
Le second atelier a abordé la question de la répartition de la valeur ajoutée tout au long de la chaîne de commercialisation des produits agricoles ou :
Comment assurer une juste rémunération des différents acteurs, depuis la production jusqu’à la distribution, tout en garantissant un prix adapté au marché local ? Comment mieux garantir l’adéquation entre l’offre et la demande ? La contractualisation est-elle une solution ? Dans l’affirmative, quelles sont les conditions pour la mettre en place ?
Le troisième atelier s’est axé sur les sujets de l’alimentation, la santé et l’environnement
Comment permettre au consommateur de faire de bons choix alimentaires ? Peut-on bien manger avec un budget restreint ? Comment réduire le gaspillage alimentaire ?
Enfin, des ateliers pratiques ont été programmés sur le site de l'Armeflhor à St Pierre à l’occasion de la venue de la Ministre des Outre-Mer.
Chaque citoyen peut contribuer à son échelle à cette consultation. 4 manières différentes (voter, argumenter, proposer, référencer) s’offrent à lui via la plateforme dédiée : https://www.egalimentation.gouv.fr/
L’association des professionnels du numérique de La Réunion, DIGITAL REUNION, a organisé, du 3 au 5 octobre derniers, NxSE. Cet événement a pour vocation de mettre en avant de la veille stratégique sur tous les sujets attenants au numérique via des conférences et des opportunités d’affaires offertes par La Réunion, l’Afrique et la France métropolitaine.
Pour cette seconde édition, plus de 700 entrepreneurs, provenant de près de 15 pays différents (La Réunion, Madagascar, Île Maurice, Tunisie, Sénégal, Côte d’Ivoire, Ghana, Nigéria, Kenya, Afrique du Sud, Nouvelle-Zélande, Luxembourg, et la France hexagonale et ultramarine), ont pu partager leurs expériences et enrichir leurs projets et les perspectives pour le développement de l’Afrique et de l’Océan indien.
Des partenariats entre DIGITAL REUNION et diverses structures dont l’ADIR, la FRBTP, la CINOR, la DIECCTE, Village by CA, … ont conduit à l’intervention d’experts (78) sur les thématiques suivantes :
1. L’Industrie du futur
2. Les villes et bâtiments de demain
3. Le touriste connecté, voyage au cœur de la data
4. Les marchés et défis de la santé numérique
5. L’agriculture connectée, la 3ème révolution agricole
Sur cette dernière thématique, un partenariat entre DIGITAL REUNION et QUALITROPIC a permis de faire venir deux experts dans le domaine issus du réseau du pôle de compétitivité : François CHRISTIAENS du Consortium de Valorisation Thématique AllEnvi et Dieu-Donné OKALAS-OSSAMI de la société E-Tumba.
Le mercredi 4 octobre, les enjeux de l’agriculture connectée particulièrement dans des contextes tropicaux et des retours d’expérience d’entreprises qui développent des outils numériques à destination du monde agricole ont été abordés au cours de deux séquences : une conférence plénière et une table ronde réunissant institutionnels et professionnels.
Trois thématiques retiennent particulièrement l’attention des acteurs agricoles et numériques de La Réunion, la détection précoce des ravageurs (maladies, nuisibles, …) des cultures, l’enherbement et les circuits courts….
Intervenants Conférence plénière :
- Technopôle de La Réunion
- Micronotes
- CINOR
- QUALITROPIC
- Chambre d’Agriculture
- E-Tumba
- Consortium de Valorisation Thématique AllEnvi
Intervenants Table ronde :
- Usio Tech Center
- AllOverApp
- E-Tumba
- SCAB
- Bourbagri
La deuxième édition des défis ESIROI a été lancée lors de la rentrée !
Ce concours pluridisciplinaire, permet aux futurs ingénieurs en agroalimentaire et en bâtiment/énergie, de s’affronter dans le but de développer pour vous des solutions innovantes, éco-conçues, durables et adaptées à notre contexte tropical.
Cette année, Qualitropic – membre du comité de pilotage - a permis de positionner sur ce concours un membre de son réseau : l’association Cacao Péi !
L’objectif : challenger 3 équipes d'étudiants sur la conception d’un outil de séchage des fèves de cacao en utilisant une énergie renouvelable.
Un beau défi, avec un enjeu concret, sur lequel nos ingénieurs de demain travaillent depuis la rentrée scolaire 2017 et qu’il devront relever avant la fin de leur année, en 2018 !
Qualitropic les suivra dans leur parcours et partagera avec eux son expérience en gestion de projets innovants.
- Le lien Youtube du reportage vidéo de l'ESIROI réalisé chez Cacao Péi : https://www.youtube.com/watch?v=17NDV_XLDag
Dans le cadre de la Loi de Transition Energétique pour la Croissance Verte, l’Etat et la Région Réunion élaborent le Schéma Régional Biomasse (SRB), défini par le décret n°2016-1134 du 19 août 2016. Le Schéma Régional Biomasse se déroule en deux phases : une première phase d’état des lieux et une deuxième phase d’orientation. Après validation de la phase d'état des lieux par le Comité de Pilotage le 1er septembre 2017, la phase 2 a pu être lancée. Les acteurs du territoire sur les filières biomasses, dont fait partie Qualitropic, ont été conviés le 27 Septembre 2017 au lycée agricole de Saint-Paul, dans le but de préciser leurs attentes et de soulever les points importants pour la phase orientation du SRB dans les quatre secteurs qui ont été proposés : public, privé, forestier et agricole.
L’AMI lancé au mois de juin 2017 par Qualitropic sur la thématique de la fertilisation organique s’est clôturé le 31 août 2017. Cinq porteurs de projets ont eu l’opportunité d’échanger avec les experts de la Commission fertilisation organique de Qualitropic sur leurs projets. Ce moment a permis à ces porteurs de projet, adhérents ou pas au pôle, d’avoir des contacts, des avis, des conseils pour solidifier leurs projets et assurer sa faisabilité. Affaires à suivre !
Les ministres en charge de la politique des pôles de compétitivité, en lien avec les présidents des Conseils régionaux et Régions de France, annoncent le financement de 38 projets sélectionnés lors du 24ème appel à projets du FUI-Régions. La liste de ces projets est disponible à l’adresse suivante :
98 projets ont été déposés à cet appel à projets, témoignant du dynamisme des écosystèmes des pôles de compétitivité dans tous les domaines.
Plus besoin de présenter l’Ecole Supérieure d’Ingénieurs Réunion Océan Indien et notamment sa formation en agroalimentaire!
De mieux en mieux connue et reconnue, l'ESIROI peut être fière de ses élèves ingénieurs qui lui permettent de rayonner sur le plan national, et au delà.
En effet, du 29 Septembre au 1er Octobre dernier, était organisé par le réseau IDEFI Ecotrophélia, en collaboration avec l’ANIA, le premier Food Hackathon Ecotrophélia!
Afin de proposer des innovations en lien avec les produits alimentaires de demain, trois élèves ingénieurs de 5ème et dernière année ont pu participer à cet événement.
30 étudiants de 11 universités et grandes écoles se sont réuni à l’ENSAIA de Nancy pour former plusieurs équipes pluridisciplinaires et proposer des idées nouvelles pour des produits alimentaires innovants, des solutions rapides, qui cassent les codes.
L’occasion pour les 2 entreprises partenaires, "Bjorg Bonneterre et compagnie" et "Saint-Hubert », de proposer des sujets concrets aux étudiants pour faire émerger des concepts innovants, mais aussi d’identifier des talents!
Le jury a récompensé le travail de nos trois élèves de l’ESIROI puisque chacune des équipes dans laquelle se trouvait un étudiant de l’ESIROI a été primée par le jury !
Ainsi les étudiants peuvent se féliciter de décrocher avec leur équipe les deux prix de faisabilité industrielle (Bjorg et Saint-Hubert) ainsi qu’un prix de l’innovation (Bjorg).
Aux entreprises de décider ce qu’elles feront des idées proposées!
Pour en savoir plus :
http://esiroi.univ-reunion.fr/actualites/hackathon-ecotrophelia-lesiroi-prime/
L’Unité Mixte de Recherche « Peuplements Végétaux et Bioagresseurs en Milieu Tropical » a convié les partenaires du projet DIVINES - Dispositif de suivi de la bioDIVersité et INnovation pour l’acquisition de connaissances des EcoSystèmes classés Patrimoine Mondial de La Réunion à une réunion de lancement qui avait pour objectifs de porter à la connaissance de l’ensemble des partenaires les enjeux et les actions du projet.
Pour l’occasion, une trentaine de représentants de structures partenaires (Parc National de La Réunion, DEAL, CIRAD, Université de La Réunion, Réuniwatt, ONF, GCEIP, Conservatoire Botanique de Mascarin, …) s’était déplacée.
Le projet DIVINES dont Qualitropic est partenaire a obtenu un financement au titre du FEDER.
Pendant six mois, Qualitropic et le Cirad ont co-encadré Joachim Thiébaut, étudiant ingénieur agronome, dans le cadre d’un stage s’intégrant dans le projet GABIR – Gestion Agricole des Biomasses à l’échelle de l’île de la Réunion. Durant ce stage, Joachim a réalisé un inventaire des procédés de transformation des biomasses locales. Il s’est intéressé en particulier aux déchets verts sur le territoire du SYDNE et aux boues de STEP sur l’ensemble du territoire. L’objectif était de recenser leurs gisements et d’étudier le devenir de ces biomasses (valorisation agricole, énergétique ou élimination). Les résultats de ses travaux ont été présentés lors d’un atelier ouvert aux adhérents de Qualitropic le Jeudi 28 Septembre à l’espace de co-working L'Usine by CBo Territoria. Au total, 22 personnes ont assisté à sa présentation.
Souhaitons la bienvenue à nos nouveaux membres :
- LES SAVEURS DE LA FOURNAISE : transformation agroalimentaire
- MAISON DU CURCUMA (Mémé RIVIERE) : agriculture - transformation en produits d'exploitation
- SOJA D'ASIE : transformation de soja biologique
- BOULANGERIE YONG : fabrication industrielle de pains, viennoiseries et patisseries
- RECYCLAGE DE L'OUEST : recyclage des déchets
- TRADITION 974 : transformation agroalimentaire
- SARL 2M2N : récupération, tri et valorisation des déchets
APPEL à COMMUNICATION SESSIONS 4 : Témoignages/Retours d'expériences -
Conférences, Ateliers, Visites et B2B (De plus amples informations ici)
Entreprises du réseau Qualitropic,
- Vous avez des besoins/des idées de projet en matière de R&D ou d’innovation scientifique pour développer vos activités ?
- Vous recherchez des informations quant aux projets de R&D en cours dans l’océan Indien ?
- Vous êtes en cours de prospection à l’export d’un produit/service vers Maurice ?
- Vous êtes à la recherche de partenaires mauriciens pour monter un projet collaboratif ?
Contactez Graziella TOSTAIN au 02 62 97 10 88
L’ADEME lance la quatrième édition de l’Appel à Projets de Recherche (APR) GESIPOL sur la gestion intégrée des sites pollués.
L'APR GESIPOL porte sur la lutte contre les pollutions industrielles, la dégradation des milieux (sols, eaux souterraines, biosphère), la valorisation des ressources foncières constituées par les sites et sols pollués.
Pour cette édition 2017, 2 axes prioritaires ont été identifiés :
Cet appel à projets s’adresse aux organismes de recherche (publics ou privés), aux entreprises et bureaux d’études intervenant dans le domaine des sites pollués, aux maîtres d’ouvrage et aux collectivités.
Les projets attendus présenteront une durée maximale de 4 ans et porteront en priorité sur des « recherches à visée opérationnelle ». Les échelles expérimentales peuvent être graduelles et vont du laboratoire au démonstrateur sur site. Il est demandé de veiller au réalisme des situations proposées pour répondre aux besoins de terrain et les projets pourront s’appuyer sur des expériences concrètes et sur des initiatives de terrain.
Dans ce cadre,
Date de clôture : 16/11/2017
Plus d'informations: https://appelsaprojets.ademe.fr/aap/GESIPOL2017-34-2#resultats
Depuis sa création en 2008, le Fonds Avenir Bio s’adresse à des opérateurs économiques engagés dans une démarche de développement impliquant des partenaires complémentaires, sur plusieurs années, et avec des objectifs communs d’impacts sur les filières biologiques concernées. Les programmes d’actions de niveau supra-régional ou national sont prioritaires. Ces programmes d’actions cohérents susceptibles d’être soutenus doivent intégrer la démarche de filière en tenant compte de tous les maillons : de l’activité de production, à la transformation puis la commercialisation. La majorité des crédits du Fonds Avenir Bio est allouée pour ces programmes, selon la procédure d’appel à projets.
Dans le cadre de ce 16ème appel à projets (AAP), le texte ci-dessous offre 2 possibilités aux porteurs de projets et à leurs partenaires :
- un dépôt direct du DOSSIER COMPLET ;
- un dépôt d’une demande de soutien au stade du MONTAGE DE DOSSIER avec la présentation d’un dossier d’orientation générale (DOG) et une formulation d’un besoin pour un accompagnement au montage de dossier.
Les aides du Fonds Avenir Bio sont destinées à donner plus d’amplitude à un projet. Ainsi, cet appel à projets a vocation à compléter les dispositifs d’aides publiques existants, en particulier : les crédits des collectivités territoriales, en particulier les Conseils Régionaux, les crédits FEADER (y inclus les fonds LEADER) …
Le PORTEUR DE PROJET et les PARTENAIRES sont des opérateurs économiques impliqués dans l’agriculture biologique. Plusieurs catégories d'entreprises des filières issues de l’agriculture biologique peuvent présenter des projets. Il s'agit des entreprises actives dans la production agricole primaire, et/ou dans la transformation et la commercialisation de produits agricoles implantées en France. Elles sont engagées dans une démarche de structuration des filières bio en partenariat avec des opérateurs économiques à différents stades de la filière.
Date de clôture : 20/11/017
Plus d'informations : http://www.agencebio.org/espace-candidature-fonds-avenir-bio
Le ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation lance un nouvel appel à projets national du Programme national pour l’alimentation (PNA) en partenariat avec le ministère des Solidarités et de la Santé et l’ADEME (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie).
Doté de 1,5 million d’euros, dont 100 000 euros apportés par le ministère des solidarités et de la santé et 400 000 euros apportés par l’ADEME, l’appel à projets soutiendra en priorité des projets fédérateurs, démultipliables ou exemplaires en cohérence avec les quatre priorités de la politique publique de l’alimentation :
· la justice sociale ;
· l’éducation alimentaire des jeunes ;
· la lutte contre le gaspillage alimentaire ;
· l’ancrage territorial et la mise en valeur du patrimoine alimentaire
Afin de poursuivre la dynamique engagée en 2016, l’appel à projets soutiendra particulièrement l’émergence et la mise en œuvre des projets alimentaires territoriaux (PAT). Ces projets collectifs permettent de rapprocher les producteurs, les transformateurs, les distributeurs, les collectivités territoriales et les consommateurs, pour développer l’agriculture sur les territoires et la qualité de l’alimentation, au bénéfice de tous.
Les futurs candidats de la région Réunion sont invités à prendre contact avec la DAAF de La Réunion en amont du dépôt de leur projet afin de s’assurer de sa recevabilité : alimentation.daaf974@agriculture.gouv.fr.
Date de clôture : 24 novembre 2017
Plus d'informations : http://daaf.reunion.agriculture.gouv.fr/Nouvel-article,1166
L’objectif de cet Appel à projets (AAP) est de soutenir des projets de démonstration :
o de l’efficacité énergétique,
o de la réduction de matières premières et d’eau,
o de la protection du milieu et de l’économie d’espace,
o Agriculture et filière bois,
o Industries agro-alimentaires,
o Chimie et papier-carton,
o Industrie des métaux, des matériaux industriels et de construction,
o Industries portuaires et maritimes.
En outre, une attention particulière sera portée à la capacité qu’auront ces innovations à éviter le transfert d’impact ou de pollution (rejets via l’air, les eaux, les sols, les déchets ou les produits), voire à permettre des co-bénéfices environnementaux.
Date de clôture : 30/11/2017
Plus d'informations : https://appelsaprojets.ademe.fr/aap/AAP%20IA%20AI2017-59#resultats
Cet AAP a pour objectif de développer de nouvelles solutions technologiquement et économiquement viables pour un déploiement à grande échelle de la rénovation énergétique du parc immobilier français ainsi que d’expérimenter de nouvelles façons de construire. Ces solutions innovantes doivent permettre une réduction forte des besoins des usages énergétiques, des impacts environnementaux, ainsi que des temps d’intervention sur chantier.
Compte tenu de la volonté d’aboutir à une mise sur le marché rapide et significative des innovations proposées, il est attendu des projets incluant au moins une expérimentation des solutions développées en conditions réelles de fonctionnement.
Ceci impliquera généralement la réalisation d’un ou plusieurs bâtiments ou îlot démonstrateurs visant les niveaux de performance énergétique décrits ci-dessous, sauf le cas échéant lorsqu’il s’agira de tester en conditions réelles des briques technologiques pouvant s’insérer ou être utilisées dans le bâtiment.
Les projets attendus devront traiter à minima l’un des quatre axes listés ci-après :
Axe 1 : Pré-industrialisation et solutions packagées pour la rénovation
Axe 2 : Numérique et dématérialisation
Axe 3 : Solutions bois construction, matériaux biosourcés et composants de matériaux issus du recyclage
Axe 4 : Plateformes technologiques pour l’innovation bâtiment
Date de clôture : 30/11/2017
Plus d'informations : https://appelsaprojets.ademe.fr/aap/AAPIABAT2017-56#resultats
Ce dispositif de l’ADEME – ORPLAST : Objectif Recyclage Plastiques - vise à soutenir financièrement l’intégration de matières plastiques recyclées par les plasturgistes ou transformateurs qui effectuent la transformation de la matière première en produits, en prenant en compte les contraintes techniques réelles pour adapter les systèmes productifs à l’intégration des MPR. L’objectif est de soutenir le recyclage par l’aval de la filière en créant une augmentation des volumes de MPR consommés.
D’une manière générale, les projets soutenus devront ainsi porter sur :
Ce dispositif comporte :
Toutes les entreprises (quelle que soit leur taille) situées sur le territoire français, utilisatrices de matières plastiques (par exemple des plasturgistes ou transformateurs), peuvent répondre au dispositif ORPLAST.
Pourront être aidées :
Date de clôture : 30/11/2017
Plus d'informations : https://appelsaprojets.ademe.fr/aap/ORPLAST2017-68#resultats